Mon idée du confinement

https://www.youtube.com/watch?v=gWC3sfvOCRk

Mon blog a changé, je le voulais bon enfant, m'aidant à passer le cap du confinement, en racontant ce temps qui passe,

Je m'aperçois qu'il est plus orienté,

En fait, en le relisant, c'est surtout le regard que je porte sur la situation qui a évolué.

Je voudrais revenir en arrière, ou mettre sur pause et penser à autre chose qu'à ce virus qui envahit mon espace.

Toutes les infos diffusées vont dans le même sens, la pensée unique s'est installée, et c'est ce qui me fait peur.

Quand un gouvernement change les lois à coup de décrêt pour museler non pas l'opposition en tant que parti, mais des personnes ayant des convictions autres que celles édictées comment cela s'appelle-t-il ?

Je ne sais pas car je n'y avais jamais pensé jusqu'à présent, Les mots qui me viennent à l'esprit sont trop forts, et je ne peux même pas le concevoir,

Mais alors que se passe-t-il ? Pourquoi a-t-on pris cette direction ? Comment en sortir ?

Un virus ne peut pas arrêter le monde de tourner, ce n'est pas possible. Qui peut décider de notre propre sécurité sanitaire, en vertu de quel sens éthique peut on faire basculer les gens dans la peur.

Nous ne sommes pas des ignorants, nous ne sommes plus au moyen âge.

Nous nous targuons d'avoir des réseaux sociaux. Nous avons le pouvoir de chercher comment, qui et surtout pourquoi ce virus est arrivé, a résisté, et renaît de ses cendres. Parce que nous voilà avec sur le dos un mutant !!

D'où vient -il celui là ? 

Hier c'était un Pangolin, aujourd'hui ce sont des pauvres visons.

Elle court, elle court la rumeur. Elle fait le tour de la terre, elle enfle et finit par exploser sur nos têtes nous mangeurs de grenouille!

• Article 1

  
  La section 1 du chapitre VII du titre II du livre Ier de la quatrième partie du code de la santé publique est ainsi modifiée :
  1° L'article R. 4127-13 est remplacé par les dispositions suivantes :

  
  « Art. R. 4127-13.-Lorsque le médecin participe à une action d'information du public à caractère éducatif, scientifique ou sanitaire, quel qu'en soit le moyen de diffusion, il ne fait état que de données confirmées, fait preuve de prudence et a le souci des répercussions de ses propos auprès du public. Il ne vise pas à tirer profit de son intervention dans le cadre de son activité professionnelle, ni à en faire bénéficier des organismes au sein desquels il exerce ou auxquels il prête son concours, ni à promouvoir une cause qui ne soit pas d'intérêt général. »

   

  
  « Art. R. 4127-19-1.-I.-Le médecin est libre de communiquer au public, par tout moyen, y compris sur un site internet, des informations de nature à contribuer au libre choix du praticien par le patient, relatives notamment à ses compétences et pratiques professionnelles, à son parcours professionnel et aux conditions de son exercice.
  « Cette communication respecte les dispositions en vigueur et les obligations déontologiques définies par la présente section. Elle est loyale et honnête, ne fait pas appel à des témoignages de tiers, ne repose pas sur des comparaisons avec d'autres médecins ou établissements et n'incite pas à un recours inutile à des actes de prévention ou de soins. Elle ne porte pas atteinte à la dignité de la profession et n'induit pas le public en erreur.
  « II.-Le médecin peut également, par tout moyen, y compris sur un site internet, communiquer au public ou à des professionnels de santé, à des fins éducatives ou sanitaires, des informations scientifiquement étayées sur des questions relatives à sa discipline ou à des enjeux de santé publique. Il formule ces informations avec prudence et mesure, en respectant les obligations déontologiques, et se garde de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées.
  « III.-Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le conseil national de l'ordre.

Mises en cause

Le 19 octobre 2020, le conseil d'administration de la Fédération française contre les maladies vectorielles à tiques (FFMVT) le démet de ses fonctions de vice-président et de président de son conseil scientifique, en réaction à ses propos polémiques sur la Covid-19, à son soutien de l'association BonSens dont les « valeurs » sont jugées « étrangères à l'éthique de la FFMVT », et à son indisponibilité récente au travail effectué au sein de la fédération55,56.

Le 17 décembre 2020, le directeur général de l'AP-HP met fin aux fonctions de chef de service des maladies infectieuses et tropicales exercées par le professeur Christian Perronne à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches, après qu’il a notamment affirmé que les malades du Covid-19 représentaient une aubaine financière pour les médecins et tenu des propos polémiques concernant l’hydroxychloroquine, et dépose plainte devant le Conseil national de l'Ordre des médecins57,58,59,60,61.

Le conseil national de l’ordre des médecins porte plainte début décembre 2020 contre six médecins, dont Christian Perronne, en raison de propos jugés controversés sur l’épidémie de Covid-19

 

Chers amis,

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille. Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie. En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique. Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’Etat.

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés. Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-CoV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocément.

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie. C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

 

Christian PERRONNE

Chef du service des Maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital de Garches (92) - FRANCE

Sous son oeil, ce professionnel de l'étude de l'homme décrit la situation avec gravité et avec ténacité.

Voici le lien qui pourrait aider à une compréhension.

Anthropo-logiques

Être humains en 2020, mais quelle histoire !

https://jdmichel.blog.tdg.ch

Attention

quand on commence à parcourir son blog, on devient addicte

et alors ?
est-ce un mal ?

Monsieur Le Président

Quand cela va t-il s'arrêter ? Jusqu'où irez-Vous ?

Lors de votre allocution Vous avez cité des noms de personnes, ces citoyens dont Vous honoriez le courage.

Ce courage vous l'avez demandé à tous, et tous avons répondu parce nous étions solidaires et que vous nous avions peur. Il y a 9 mois, la seule chose qui comptait était de rester en vie.

Je suis mère de 4 enfants tous majeurs ; tous les quatre ont subi comme moi, mon mari et tous les français les confinements, le port du masque et les couvre feu.

Ils l'ont fait tout comme moi avec la croyance que l'Etat, mon pays, mon Président et ses ministres nous protégeaient malgré nous, contre nous-même

J'ai râlé, discuté, mais je me suis rangée à cette conviction qu'il fallait aider le personnel soignant en le soulageant.

Aujourd'hui arrive le vaccin et là je m'insurge,

Jusqu'à présent cela ne touchait pas la personne, son intégrité physique. 
Nos libertés ont été restreintes, nos droits remis en question. 
Tout pouvait expliquer ces privations: il ne fallait pas encombrer nos hôpitaux à l'agonie à cause des restrictions budgétaires engagées depuis des années.

Mais alors pourquoi ce vaccin ? Cette question reste en suspend.

Je cherche à comprendre son utilité car c'est incroyable qu'on arrive à vacciner la population mondiale !!!

Mon rôle de mère est de protéger mes enfants et la vaccination contribue à cette protection.

Mais ce vaccin n'a aucun objectif thérapeutique.
Vaccine-t-on contre un rhume, contre une grippe quand on n'est pas une personne à risques ?

Bien sûr qu'on peut être contaminé, et la médecine nous soigne en nous renvoyant chez nous avec des antibiotiques et d'autres probiotiques pour reconstituer la flore intestinale. 
Ces remèdes qu'on nous a enlevé de l'arsenal thérapeutique et qui nous font défaut.

Monsieur le Président, J'ai peur,

JE SUIS HORRIFIEE,

C'est la rage au cœur que je vous interpelle,

En ma qualité de citoyenne, mais de mère avant tout.

Vous avez le pouvoir et le devoir, Vous en avez la fonction et l'autorité d'arrêter cette fuite en avant. 
D'arrêter cette campagne de vaccination dont la communication devient de plus en plus brutale et dont l'objectif final est impensable,

Vacciner la population mondiale avec l'aide d'un vaccin transgénique contre un virus de la grippe qui est arrivé sur un étal de marché chinois par le braconnage d'un pangolin dont la viande a été contaminée. Ce pauvre pangolin sacrifié a infecté 7 milliards de personne ! Est-ce de la Science Fiction ?

Ou est-ce la réalité ?

Reprenons nos esprits, redonnez nous nos vies, notre travail, 
redonnez nous confiance et enlevez nous cette peur qui nous asservi. 
Renoncez à diffuser ce vaccin qui n'en n'est pas un.

Obligation, Interdiction, ne sont pas que des mots, 
c'est ce que votre peuple subi.

Je ne dois pas, je ne peux pas laisser faire sans réagir. 
Je me tourne de tous les côtés mas il n'y a pas de guerre. 
Tout est caché. 
Déclarer la guerre à un virus, c'est votre droit.

Mon devoir est de déclarer la guerre à ce vaccin qui n'a qu'un seul but, l'argent. 
Ce côté mercantile ne doit pas être au-dessus de nos droits fondamentaux, 
au dessus de notre héritage génétique, 
au-dessus de nos libertés de circuler avec ou sans l'absolution d'une vaccination,

Le monde change, il va vite, trop vite, je ne peux pas l'arrêter.

Mais vous, Monsieur le Président, Vous le pouvez, Vous le devez. 
Pour nous, pour moi, pour mes enfants et pour toute cette génération qui va être sacrifiée sur l'autel de l'indifférence abjecte des financiers.

Montrez Vous à la hauteur de votre fonction. 
Celle de la protection de vos concitoyens qui Vous ont honoré en vous mettant à ce poste.

L'heure est grave.

Nos libertés sont restreintes. Nous ne répondons pas à cet affront qui nous est fait.

Comment s'en sortir, comment en sortir ?

Des hommes politiques gouvernent notre pays, Ils veulent nous protéger
disent-ils.

Mais de quoi ?

D'un virus dont ils nous ont enlevé les moyens de guérir, du port de masque obligatoire même à l'extérieur.
L'homme est-il fait pour porter un masque ?
Nous obstruons notre capacité respiratoire, nous empêchons nos poumons de s'aérer.

Jusqu'à quand ? A quel moment cela s'arrêtera ?

Cela fait maintenant 9 mois, que notre gouvernement nous dirige à coup d'attestation, d'interdiction, d'obligation.
Les chiffres sont leur crédo,

Je suis d'une intelligence moyenne, je n'ai pas fait de grandes études et les maths n'ont jamais été ma spécialité.
Mais depuis quelques temps, je les regarde ces chiffres si alarmants qu'ils en viennent à diriger notre liberté.
J'ai découvert que les chiffres selon la manière dont on les traite ne disent pas la même chose.
Les statistiques dépendent de la question que l'on pose,

Et qu'elle est la question
que nos dirigeants se posent ?

Le nombre de décès,
le nombre de personnes en réanimation,
le nombre de lits,
le nombre de respirateurs.

Si je les prends un à un ;
Identifier ces décès.
Sont-ils imputables au covid et combien réellement le sont?
parce que les courbes de mortalités ne sont pas plus terribles que celles de l'an dernier ou celles de l'année d'avant.

Alors quoi ?
Le covid n'a tue pas?

Si mais pas plus que la grippe en 2019 ou en 2018.
Bien sûr le port du masque a peut-être empêché qu'il y en ai plus, mais ce n'est pas ce que disent nos dirigeants.

Ils annoncent une hécatombe malgré les mesures sanitaires !!!,,

Le nombre de personne en réanimation, nombre de lit, nombre de respirateurs

ces chiffres nous confine ou pas.

Ca c'est insupportable, parce qu'il n'y a pas eu plus d'ouvertures de lit entre le premier et le deuxième confinement.
Des hôpitaux n'ont pas été rouverts pour accueillir des malades, des cliniques non plus.
Donc on table sur l'existant mais on sait que c'est impossible puisque depuis des années des gestionnaires bien intentionnés ont fermé des unités au nom de la rentabilité.
Et s'il en fallait plus, des sociétés se sont adaptées pour fabriquer plus de respirateurs,,, qui attendent toujours d'être utilisés.

Alors ? ….

Aujourd'hui le vaccin est annoncé

c'est le miracle de Noël

Tout le monde doit le faire sinon … sinon quoi ?

Encore une obligation !

Au nom de quelle science devrai-je me faire vacciner contre une grippe alors que je ne suis pas une personne à risque?

Pourquoi devrai-je mettre mon identité génétique en jeu pour un vaccin dont les objectifs ne sont pas avoués ? 

et surtout
ce n'est pas moi qui le dit:

«on n'est pas sûr à 100% de son efficacité,
on ne connaît pas les effets secondaires,
on peut être réinfecté malgré la vaccination »

et surtout et c'est alarmant,
les sociétés pharmaceutiques se sont prémunies de toute attaque juridique s'il déclenchait des effets secondaires graves.

Pourquoi se prémunir d'un vaccin qui est sensé protéger des vies.

 Ce qui me fait peur c'est que bientôt, on va nous demander d'avoir une attestation de vaccination.

Bien sûr ce n'est pas dit, mais pourquoi pas ?

Il faut bien le vendre ce vaccin qu'on achète à coup de milliard.

Alors quoi ?

Je ne vois pas l'avenir en rose, mais plutôt noir.
De cette épée de damoclès qu'ils laissent planer au dessus de nos tête.
A croire qu'ils prennent plaisir à nous menacer de couvre feu, de re re confinement.
On ouvre ou pas les restaurants et autres lieux culturels. Ils nous font espérer à coup de dates butoir et sortent de leur chapeau des courbes qui ne veulent rien dire mais qu'eux savent lire et interprérter.

C'est pour notre bien disent-ils ?

 Mais savent-ils exactement ce qui est bon pour nous?

Parce que nous interdire de travailler, de sortir, nous obliger au port du masque ça en fait des malheureux, des licenciés, des pauvres qui n'ont plus de moyens de subsistance et dont ils perfusent à coup de chèques et autres dons.

Et le monde d'après, comment sera-t-il ?

Parce qu'il faut espérer qu'il y en ai un monde d'après.
On ne pourra pas toujours vivre sous la coupe d'un état omnipotent qui décide de qui ou de quoi ?

Le pays est endetté, surendetté, mais pourra-t-on redresser la barre quand autant d'entreprises ferment et licencient.

On n'a plus besoin d'avion puisqu'ils ne volent plus, alors cette entreprise florissante qu'était AIRBUS, qui faisait travailler des milliers de sous-traitants est déficitaire et doit débaucher elle-même ses ouvriers qui ont été formés par AirBus.

Ce n'est qu'un exemple, mais s'il en fallait d'autres : 900 emplois supprimés là, 2000 supprimés ailleurs et je ne pense pas que cela s'arrêtera.
Comment relancer la machine puisqu'on se sépare de son personnel. Etait-il inutile ?

NON

C'st simplement la conjoncture!

Alors changez là
non de non,

 Faites repartir le pays.

Arrêtez de nous faire vivre sous la coupe de cette épidémie dont vous vous êtes faits en grande partie les fossoyeurs.

Redonnez nous, notre liberté de travailler, de circuler, d'entreprendre.
Laissez nous vivre comme nous l'entendons et nous soigner dignement en nous donnant les moyens de le faire, c'est à dire en autorisant les médecins à nous donner ces remèdes miracles qui sont tant décriés ; des antibiotiques,

Tout ça je l'écris,

mais finalement pour qui ?

Je ne sais pas si je suis lue et qui me lit ?
Alors j'ai décidé d'écrire à mon Président, parce que c'est lui qui peut arrêter cette machine infernale.

Serai-je entendue?

je ne pense pas mais j''aurai fait au moins quelque chose parce qu'à force de crier dans le désert, je me suis lassée.

J'ai pris la décision de

HURLER

Je souhaite que celui qui m'entendra ne sera ni sourd ni autiste mais qu'il réagira au nom de ce principe qu'est la

DEMOCRATIE

si ça veut encore dire quelque chose mais surtout

MA LIBERTE

J'ai essayé le couvre feu à 18 heures/ En ramenant mon fils vers son lieu d'études, nous nous sommes arrêtés dans la Nièvre. La Nièvre c'est Nevers et son hôpital mais c'est aussi Donzy, Clamecy ou Cosne sur Loire.

A Cosne sur Loire, la situation est assez énervante car cette ville est limitrophe des départements du 18 Cher, du 45 le Loiret, du 89 l'Yonne qui eux ne sont pas soumis à cette interdiction.

C'est assez difficile à comprendre parce qu'il suffit de traverser la Loire pour que le couvre feu passe à 20 heures.  alors ses habitatns peuvent trainer dans les magasins jusqu'à 18 heures et passer la Loire,

Mais, les autres, ceux qui vivent à Cosne c'est une toute autre organisation. Il leur faut arrêter toute activité  à 17H pour avoir le temps de rentrer chez soi avant le couvre feu. 

Est-ce juste, judicieux, compréhensible ?