RE Re Re confinement ? ou couvre-feu ?

C'est dit, il a osé, ils ont osé.

Ne dit-on pas que les ---- osent tout ?

J'en suis là, ou lasse?!

Entre la poursuite du confinement ou la mise en place d'un couvre feu, ils ont choisi pour nous, eux les adultes responsables, et nous qui n'avons pas fait nos devoirs correctement.

Donc on pourra circuler mais de 6h à 20H (ai-je bien entendu ?) 20 heures?... 

Au lit les petits, ce soir pas de Télé, pas de lecture,

tu plaisantes

En fait c'est plutôt :

Ce soir pas de réveillon en famille  à plus de 6, masqués surtout, et vous restez dormir parce qu'il y a le couvre feu!   

Je n'ose m'exprimer parce que ce serait violent...

Je relis mon blog et cet autoritarisme est pléthore :

le port du masque pas obligatoire, puis devenu obligatoire au point qu'on oblige des élèves (enfants et adolescents) à le porter continuellement alors qu'ils ne peuvent pas être contaminés.

On ne sait pas recycler ces matériaux et on laisse des enfants respirer ces micros particules de plastique,

Quelles seront les conséquences sur leur santé. Et les conséquences psychologiques? en leur faisant porter la faute sur les contaminations qu'ils auraient propagées en faisant la fête???!!! 

Je ne mentionnerai pas le confinement parce que je pense qu'au début ça partait vraiment d'une volonté de mettre en sécurité la population.

mais le Reconfinement, lui est absurde, délétère compte tenu des retours sur les conséquences du premier.

On met en péril tout une économie, qu'elle soit marchande ou économique :  des commerçants, des travailleurs indépendants, des producteurs, des emplois précaires  dont c'est le seul moyen de subsistance, toute l'économie solidaire s'est arrêtée, remettant en question les aides qu'elle apportait. Les employeurs débauchent, et les salariés se retrouvent chômeurs dans une période où l'activité économique est stoppée.

Que dire des maisons de retraite, Ephad, et autres centres de détention où l'on retient des gens enfermés et qui ne doivent leur salut qu'à la volonté individuelle du personnel de ne pas transmettre le virus en prenant les précautions, Des fois, ça marche, Des fois, ça dérape et on a vu le résultat ...

et pour Noël,

On en a entendu des choses, et pas toutes intelligentes, on se demande qui pond des âneries pareil :

Autorisation d'aller prendre l'air à la montagne, mais pas de ski.

Donc on arrête une économie de montagne déjà précaire qui doit subir les aléas météorologiques et qui maintenant doit subir celui d'un Etat sourd et aveugle et peut-être idiot qui est prêt à punir les vacanciers qui désirent passer les frontières.

Et finalement, ça concerne combien de personnes ? Parce que penser à aller au ski, est-ce vraiment ce que réclame la population dans on ensemble ?

Ils en disent des choses, ils parlent

trop vite?

se rattrapent puis le couperet tombe;

à côté ?

Tant pis si on se contredit, si ça n'a ni queue, ni tête. surtout pas de compromis, ça serait trop, ... trop quoi en fait ? parce que le dicton n'est il pas ;

"il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis"

 Autorisation de circuler mais entre 6h à 20 H à partir du 15 décembre?!!!

Mais jusqu'à présent, quelles étaient les consignes ?

Avait-on le droit de circuler au-delà de 20 H?
Bien sûr on était confiné, mais avec des attestations nous donnant plus de marge de manoeuvre que ce couvre feu.

On nous libère,

ou

nous sert-on la vis?

LIBERE,le mot est dit

LIBERTE DE CIRCULER, LIBERTE D'ALLER ET VENIR HORS DES FRONTIERES, LIBERTE DE TRAVAILLER,

Ce sont des droits que l'on n'avait pas besoin de signifier, de souligner. On n'y pensait même pas, parce que c'était, et c'est de l'imparfait, c'était donc naturel, convenu;

Aujourd'hui, qu'en est-il de cette liberté qu'on restreint petit à petit à coup d'attestation de sortie, et surtout d'interdiction (de voir sa famille, jeunes et moins jeunes, d'aller au cinéma, au restaurant,... et le reste

le seul droit qui nous reste c'est celui d'aller faire ses courses avec l'argent qu'on n'a pas et qui nous fait défaut parce qu'on est en temps partiel, ou au chômage, et dont les sociétés de crédit font leur beurre!

Je m'essouffle, je manque d'air, je vais aller le respirer dans ma chambre, mon seul espace de liberté qui me reste.